L’Uniopss porte plusieurs propositions faisant échos à celles de l’IGAS, parmi lesquelles la mise en place de modalités de financement des établissements au service réel de la qualité, l’amélioration du pilotage national et local, en particulier au niveau départemental, ou encore la structuration d’une politique de contrôle homogène sur l’ensemble du territoire et soucieuse du respect de l’ensemble des besoins des jeunes enfants accueillis. Prévenir les maltraitances implique également et en tout premier lieu des professionnels en nombre suffisant, formés, accompagnés et soutenus au quotidien dans leurs pratiques.

Accéder au communiqué et à la contribution de l’Uniopss à la concertation sur le service public de la petite enfance.

Hexopée, organisation d'employeurs engagés dans la filière éducative dès la petite enfance, demande la création d'un véritable service public de la petite enfance afin d'ancrer l'éducation des enfants dès leur plus jeune âge dans un environnement de qualité.
 
Le rapport met également en avant l'urgence de réhausser la qualité de l'accueil en établissement d'accueil du jeune enfant (EAJE), notamment par le renforcement des contrôles, la révision du taux d'encadrement et de nouvelles réflexions relatives au niveau de qualification des professionnels, soulignant la nécessité de valoriser la qualité de vie et des conditions de travail des salariés des EAJE. Enfin, la question des moyens accordés au secteur de la petite enfance est posée. 
 

Pour plus détails consulter le communiqué de presse d'Hexopee.