Les grands enseignements salarié.e.s (cadres et non-cadres)
Note QVT en fonction de la structure
Retrouvez ici la note moyenne que les salariés attribuent à leur qualité de vie au travail selon le type de structure dans laquelle ils exercent.
Pour visulaliser les résultats, cliquez sur les boutons ci-dessous.
2017 : 5,8
6,62014 : 6,6
2017 : 6,8
2014 : 6,5
2017 : 6,2
2014 : 5,9
2017 : 5,8
2014 : 5,9
2017 : 5,6
Le sentiment de faire un travail utile dans une bonne ambiance
Les salariés de l’ESS ont de plus en plus le sentiment de faire un travail utile. L’ambiance de travail atteint toujours un bon score.
se sentent utiles au public ou aux bénéficiaires
2017 : 83 % / 2014 : 81%
jugent l’ambiance de travail bonne
2017 : 78 % / 2014 : 80%
Des objectifs clairs mais du flou sur l’évaluation du travail
La clarté des objectifs progresse depuis la 1ère édition du baromètre. En revanche, la connaissance des critères d’évaluation du travail effectué reste toujours aussi floue.
savent ce que l’on attend d’eux au travail
2017 : 79 % / 2014 : 81%
savent précisément sur quoi leur travail est évalué par leur encadrement
2017 : 54 % / 2014 : 58%
Les changements d’organisation : principal facteur de dégradation de la QVT pour les salarié.e.s.
Des changements d’organisation mal expliqués et mal vécus, peu enclins à rassurer les salariés sur leur emploi.
estiment avoir reçu des informations claires et suffisantes sur les raisons du changement
2017 : 57 %
estiment avoir reçu des informations claires et suffisantes sur la mise en œuvre du changement
2017 : 52 %
1 salarié sur 2 surchargé et une montée des indications contradictoires
Le ressenti par rapport à la charge de travail est stable mais reste important depuis 2014 alors que le sentiment d’indications contradictoires connait une progression notable.
des salariés estiment effectuer une quantité de travail excessive
2017 : 50 % / 2014 : 50%
des managers/encadrants de proximité éprouvent des difficultés à réguler leur propre charge de travail
Oui
Non
reçoivent des indications contradictoires
2017 : 32 % / 2014 : 33%
S’exprimer sur son travail dans l’ESS : une satisfaction mitigée
Les possibilités d’expression sur son travail sont jugées satisfaisantes sans générer toutefois un engouement unanime depuis 2014. Il en est de même concernant l’utilité des temps d’échanges sur l’amélioration de la qualité de vie au travail. Des progrès sont à faire selon 1/3 des salariés.
sont satisfaits de leurs possibilités d’expression sur le travail et son organisation
2017 : 65 % / 2014 : 66%
estiment que les temps d’échanges sur le travail (réunions, transmissions, entretiens avec la hiérarchie, analyse de la pratique…) permettent d’améliorer la qualité de vie au travail des salariés
2017 : 63 % 2014 : 65 %
Une érosion de la satisfaction sur les moyens et une autonomie au travail en hausse
Après un recul observé en 2017, moyens matériels et autonomie connaissent un rebond en 2020. Toutefois, la baisse de 5 points entre les éditions 2014 et 2020 exprime un ressenti critique sur les moyens disponibles dans les organisations de l’ESS.
ont les moyens matériels de réaliser un travail de qualité
2017 : 63 % / 2014 : 71%
ont, dans leur équipe, la liberté de faire évoluer les procédures pour travailler efficacement
2017 : 57 % 2014 : 61 %
Entre sentiment d’être respecté.e.s et crainte d’être maltraitant.e.s
se sentent respecté.e.s et reconnu.e.s par les bénéficiaires, le public, les adhérents, les clients
2017 : 88 % 2014 : 83 %
Le sentiment d’être respecté.e.s et reconnu.e.s par les publics accompagnés reste largement majoritaire mais s’effrite par rapport à 2017 alors que le sentiment d’être maltraitant.e.s en raison des conditions de travail progresse.
ont le sentiment d’être maltraitant.e.s avec les bénéficiaires, le public en raison de leurs conditions de travail
2017 : 22 % 2014 : 21 %
Efforts physiques et douleurs articulaires en progression
Le travail nécessite davantage d’efforts physiques et les manifestations de douleurs articulaires, de gênes liées aux manutentions progressent significativement par rapport à 2014.
des salariés font un effort physique pour aider des personnes dépendantes, des enfants ou porter du matériel et du mobilier
2017 : 31 % 2014 : 29 %
ressentent des douleurs articulaires, une gêne dans le travail
2017 : 30 % / 2014 : 23%
Pour agir
Découvrez des exemples de piste d’actions à mettre en place ainsi que les outils et services développés par nos experts prévention et santé au travail
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