[COMMUNIQUE] Les membres d'ESS France regrettent néanmoins la diminution du nombre de leurs représentants au sein du Conseil économique, social et environnemental suite à la réforme.
Les acteurs et réseaux de l’Economie sociale et solidaire rassemblés au sein d’ESS France se réjouissent de la place réaffirmée du Conseil économique, social et environnemental (CESE) dans nos institutions à la faveur de la réforme de ses missions et de son organisation.
Troisième assemblée constitutionnelle de la République, lieu de dialogue et de compromis dynamiques, expression de la société civile organisée, le nouveau CESE est en mesure de jouer un rôle stratégique dans la recherche de solutions convergentes pour (re)fabriquer du commun et pour (re)tisser des liens.
Le « nouveau CESE » s’appuiera sur la participation citoyenne et sur une plus large expression des territoires. Ceci conforte les acteurs de l’ESS dans leur conviction commune d’être - grâce à leur grande diversité, leur façon d’entreprendre et les principes de leur performance - au cœur de ce qui est à construire pour notre pays durement touché par la crise.
C’est la raison pour laquelle ils ont décidé de soutenir collectivement le projet proposé par Thierry Beaudet pour la présidence du CESE. Le président de la Mutualité Française, grâce à son parcours d’engagement et à son tempérament fédérateur, saura incarner ce CESE dont la République a besoin.
Les acteurs de l’ESS regrettent néanmoins que, en dépit de leur dynamisme en matière de création d’activités et d’emplois, comme de solutions innovantes en matière de cohésion et de transition écologique, le nombre de leurs représentants ait été revu à la baisse dans la nouvelle composition du CESE.